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Nursy Girl

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1Nursy Girl  Empty Nursy Girl Lun 30 Aoû - 22:47

Magestik

Magestik
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Je me présente, Nursy Girl. Comme toute histoire qui se respecte, je vais commencer par le début ...




Bon courage à ceux ou celles qui veulent la lire

2Nursy Girl  Empty Re: Nursy Girl Lun 30 Aoû - 22:49

Magestik

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LE REVE :

Je vivais à Atlas Rark. A Prometheus Park pour être précise. Quand je regardais par la fenêtre de ma chambre, je voyais toute ces statues de Héros. Je me mettais à rêver, en pensant, si seulement j'avais moi aussi des donts. Alors je m'imaginais avoir les pouvoirs de Statesman, de Miss, et de beaucoup d'autres.
En bas du bâtiment ou j'habitais, il y a encore à ce jour plein de petite boutique, et non loin le tram.

C'était pratique pour aller à l'Université de Copper District à Steel Canyon. Je faisais mes cours de vente pour pouvoir travailler au côté de ma mère. Elle tenait une boutique de prêt à porter à Independance Port. Mon père, lui, était un grand chirurgien, il travaillait à l'hôpital de King's Row.
Notre école se préparait à un tournois de Handball qui se déroulait qu'une fois par an. Nous devions affronter l'Université Williams Square de Founder's Fall, qui n'avait jamais perdu.
Pendant cette période, nous étions sous pression, entre les révisions pour le BTS, et le match qui aurait bientôt lieu.
Mais curieusement je n'étais pas fatiguée. Quand je voyais mes camarades, à bailler, et à se plaindre. Je m'étais demandé si c'était normal d'être en aussi grande forme.
J'en avais parlé à une amie, Karoline, qui était venue chez moi pour étudier. Elle me disait de demander conseil à mon père. Je lui avait expliqué qu'il n'avait pas trop le temps pour ça. Elle remarqua elle aussi que j'étais légèrement différente.
Karoline : Tu as pris quelque chose pour avoir autant la pèche ?
Moi : Bah non, sinon je t'en aurais pas parlé si je savais de quoi il s'agissait. Soit donc logique. (Sourire)
Karoline : T'as pas tort. Mais c'est depuis quand que tu te sens en aussi bonne forme ?
Moi : Ca doit faire deux jours, sans plus.
Karoline : C'est seulement maintenant que tu t'en inquiètes ?!
Moi : Oui. Parce qu'avant ... comment dire ... Je sais pas comment l'expliqué.
Karoline : Comment ça ?
Moi : Exemple, je me couche très tard, car je révise pour nos examens. Le matin je pète la forme comme jamais.
Karoline : Qu'est-ce que tu appelles tard ?
Moi : 4h du matin, et je me lève à 7h.
Karoline : Quoi ? Tu n'as pas la sensation de fatigue, de mal de tête ?
Moi : Je te dis que non.
Karoline : Oui, mais bon ça va peut-être venir ça fait que deux jours que ça te fais ça.
Moi : Peut-être, j'en sais rien.
Karoline (Baille, et s'éttire) : Bon. Moi j'en peux plus je rentre chez moi. Ca sert à rien que j'étudie, de toute façon je ne retiendrais rien là. Pas fatiguée ?
Moi : Non, je vais bien.
Karoline : Si seulement j'étais comme toi. (Baille)
Moi : Parce que tu crois que c'est une chance ?
Karoline : Bah oui. (Baille). Regarde j'arrive même pas a te faire bailler.
Moi : Ah oui j'avais même pas remarqué.
Karoline : De voir quelqu'un de complètement naze (baille) ne te fatigue pas.
Moi : Non.
Karoline : Bon moi j'y vais (Baille). Il est quand même 1h du mat', je vais pas être très fraiche demain (baille), enfin après.
Moi : Tu veux dormir ici ?
Karoline : Je sais pas trop (baille), j'ai rien emmener.
Moi : Comme tu veux.
Karoline : Je crois que je vais rester (baille) je suis vraiment naze (baille).
Moi : Tu sais ce que tu veux (sourire).
Karoline : Tu sais très bien (baille) que je n'ai jamais su ce que je voulais (baille) Rooo c'est énervant de bailler ainsi.
Moi : Je vois ça. Dors sur mon lit.
Karoline : Et toi ?
Moi : Ne t'inquiètes pas pour moi.
Karoline : Si tu le dis.

Karoline était allée dans ma chambre, je lui avais passé un pyjama, et étais repartie au bureau.
Je m'étais replongée dans mes bouquins, et mes classeurs. Me faisant des notes de tous ce que j'avais pu apprendre durant mes études.
J'étais tellement concentrée que je n'avais pas remarqué que le jour s'était levé.
Vu l'heure qu'il était ça ne valait plus la peine que j'aille me coucher. J'étais allée à la cuisine préparer le petit déjeuner.
Ma mère : Tu es déjà debout ?
Moi : Salut maman. Non, c'est que je n'ai pas fermé l'oeil de la nuit, c'est différent.
Ma mère : Je sais qu'il y a les examens qui approchent, mais pense à te reposer tout de même.
Moi : Je ne suis pas fatiguée, c'est ça le soucis.
Ma mère : C'est sûrement dû au stress.
Moi : Oui sûrement.
Karoline : Bonjour.
Ma mère : Salut Karoline. Tu n'es pas rentrée chez toi ?
Moi : Bah non maman, sinon elle ne serait pas là.
Ma mère : Bon les filles j'y vais. A ce soir, et tâche de te reposer.
Karoline : Au revoir. Tu lui as dit ?
Moi : Oui et non, c'est juste que j'ai pas dormi.
Karoline : Quoi ? T'es pas fatiguée ?
Moi : Toujours pas non. Mais ma mère a peut-être raison.
Karoline : Sur quel sujet ?
Moi : Ca doit venir du stress
Karoline : Possible.

Nous avions toute les deux pris le petit déjeuner, et nous étions parti en cours.
Chaque fois que l'on sortait d'un cours, Karoline me posait la même question, si j'étais fatiguée, et chaque fois je lui avais répondu que non. A la longue sa question devenait énervante.
A la pause de 10h nous avions vu l'homme d'entretient tondre la pelouse.
Karoline : A tous les coups on aura droit à des épinards à midi (rire)
Moi : C'est possible (rire)
Karoline : Et toujours ..
Je ne lui avais pas laissé le temps de finir sa phrase : Non toujours pas fatiguée. Arrête avec cette question, c'est lourd a la fin.
Karoline : Oh excuse moi. Je m'inquiète c'est tout.
Moi : T'inquiètes ça va.

La cloche avait sonné. Tout le long du trajet elle n'avait pas arrêté pas de me dire d'aller consulter, pour voir si c'était normal. Pendant que nous étions entrain de parlé de ça, Marc, un camarade de classe c'était mélé à la discussion.
Marc : Qu'est-ce que tu veux qu'elle aille consulter, tous le monde c'est qu'elle pas normal (Il rigola a gorge déployé)
Moi : De quoi je me mèle ! Déjà révises avant de faire ton malin, si t'es là c'est que grace à ton père. Parce qu'il travaille à la Mairie. Moi c'est grâce à mon cerveau que je suis là !
Il n'avait plus su quoi dire, et tous le monde s'était moqué de lui.
Karoline : Qu'est-ce qui t'arrives ? Tu n'as jamais été comme ça ?
Moi : Je n'en sais rien.
Karoline : Ca doit vraiment venir du stress.
Moi : Oui (soupir)

Nous sommes retournée en cours, nous avions comme matière le droit, celle que je avais préféré. (Si je me souviens je crois avoir était la seule à trouver que cette matière étais bien). Ensuite nous avions 1h d'histoire, ou nous passions une demi heure à parler de nos valeureux héros. Je ne pouvais m'empécher de rêver durant ce passage.
Karoline (chuchote) : A quoi tu penses ?
Moi (chuchote) : J'aimerais avoir des pouvoirs comme ces héros qui nous tant de fois sauvé.
Karoline (chuchote) : Hein ? Pourquoi ?
Moi (chuchote) : Tu ne t'es jamais imaginée avoir des dons ?
Karoline (chuchote) : Non jamais.
Moi (chuchote) : D'être quelqu'un d'important ? Qu'on te reconnaisse dans la rue, qu'on aclame ton nom ? Que tu sois quelqu'un d'autres, et pas comme tous ces gens qui ont leurs train train habituel ?
Karoline (chuchote) : Euh non jamais non.
Le proffesseur : Hum hum. Ce que je raconte ne vous intéresse pas, ou alors vous croyez déjà tous savoir ?
Karoline : Euh non monsieur.
Le proffesseur : Alors pourquoi chuchotiez-vous ? Faites dont profiter la classe.
Karoline : Bah euh ..
Moi : Monsieur, c'est parce que je m'imaginais un court instant avoir des donts tel que Statesman, ou bien d'autres.
Toute la classe s'était mise à rire.
Le professeur : Silence ! Vous savez bien, mademoiselle, que cela n'arrivera jamais. Rien ne vous empèche de rêvé, mais faites le en dehors de mes cours.
Marc (chuchote) : Quand je disais qu'elle est malade (rire)
Le professeur : Vous vouliez ajouter quelque chose ?
Marc : Non, Monsieur.
Moi (chuchote) : Lèche botte.
Karoline (chuchote) : Arrête tu vas te faire renvoyer du cours.

Les cours du matin étaient terminés. Karoline et moi nous nous étions dirigé vers la cantine. Quand Marc nous avait rattrapé.
Marc : Dis, t'as vraiment un soucis l'intello !
Moi : Ecoute, c'est pas le jour, ni le moment.
Marc : Pourquoi il faut que tu regardes sur ton agenda ?
Karoline : Arrête Marc, ça suffit.
Marc : Oh ! Tu as perdu ton sens du répondant ? Donc tu envois ton chien de garde ?
Karoline : Non mais va embêter quelqu'un d'autres lâche nous !
Moi : Arrête Marc tu commence à m'énerver.
Marc : Et c'est que le début.
Il avait frappé fort sur les livres que j'avais dans les bras, et les avait fait tombé.
Moi : Ha ha ha. Pauvre gamin ..
Karoline s'était mise entre nous.
Karoline : Arrêtez à la fin. Battez-vous plutôt sur le terrain cette après-midi, vu que nous devons nous entrainer pour le match à venir.
Marc : C'est pas parce que t'es une fille que je te ferais un cadeau.
Moi : Parce que tu crois que je vais t'en faire.

Il était reparti comme il était venu.
Karoline : Mais enfin qu'est-ce qui t'arrive ??
Moi : J'en sais rien, ça fait cent fois que je te le dis.
Karoline : Je sais, mais là tu commences à vraiment m'inquièter.
Moi : Ne t'en fais pas, ça va je te dis.

Nous sommes entrée dans le hall de l'université, pour y ranger nos affaires. Puis nous sommes allée manger.
Karoline : Rofl, j'avais raison.
Moi : De quoi tu parles ?
Karoline : Hé bin des épinards.
Moi : Ah tu parlais de ça.
Karoline : Tu as l'air songeuse ?
Moi : Non non.
Karoline : Ah bon.
On avait pris chacune un plateau, nous avions pris notre entrée, notre repas, notre fromage, et dessert. Nous avions ensuite cherché une place, et nous nous sommes assise. Pendant tous le repas, Karoline n'avait parlé que de mes soucis de santé et de Marc.
Moi : On pourrait pas changé de sujet s'il te plaît.
Karoline : Oui pardon.
Moi : Pas la peine de t'excuser.

Une fois que nous avions fini le repas, nous avions ramener notre plateau, et sommes allée marcher un peu dans la ville. Histoire de détendre l'atmosphère.
Nous ne reprenions les cours qu'à 14h, donc nous avions 1h devant nous. De plus les cours qui devait suivre n'était pas très fatiguant, du sport jusqu'à 17h.

Karoline : Vivement ce soir je suis naze.
Moi : T'as pas de chance va falloir te dépenser cette aprème.
Karoline : Ne m'en parle pas, rien que d'y penser j'en peux déjà plus.
J'avais rigolé.
Karoline : On a pas tous ta chance.
Moi : Tu vas pas reparler de ça. On retourne au bahut ?
Karoline : Déjà ?
Moi : Tu veux faire quoi, tout est fermé à cette heure-ci.
Karoline : Je te paye un café ?
Moi : Pourquoi pas.

Après avoir bu notre café, parler de tout et de rien. Nous sommes retournée à l'Université.
Nous sommes allée nous changé dans le vestiaire du gymnase. Une fois prète, nous avons eut droit à des séries d'échauffement de 30 mn.
Nous avons enfin pu commencé à jouer. Nous étions deux équipes mixte.
Karoline s'était dirigée à toute jambe vers le but adverse, quand Marc l'avait poussée. Elle était tombée, et dans sa chute elle s'était fait mal à la cheville.
J'ai courru à sa rencontre, pour l'aider à se relever.
Moi : T'es qu'une brute Marc
Karoline : C'est le jeu.
Moi : Ca va ta cheville ?
J'avais à peine effleuré sa cheville, qu'une aura s'était dégagée de mes mains.
Prise de panique, Karoline, se releva subitement et m'avait dit : Mais qu'est-ce que tu me fais ?!
J'étais tout comme elle sous le choque, je lui avais répondu : Bah ... j'en sais rien ... T'en as de bonne questions ..
Le soucis c'est que nous n'étions pas toute seule à avoir vu cette aura, tous le monde l'avait vu.
Le Proffesseur : Qu'est-ce que ...
J'étais tellement surprise par ce qui venait de m'arriver, que la seule réaction que j'avais trouvé ça avait été la fuite.
Karoline : Attends ! Ou tu vas ?





Dernière édition par Magestik le Lun 30 Aoû - 23:06, édité 1 fois

3Nursy Girl  Empty Re: Nursy Girl Lun 30 Aoû - 22:50

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LA REALITE :


Après avoir fuis l'Université, j'étais rentrée chez moi. Le téléphone n'avait pas arrêté de sonner, je savais que c'était Karoline, mais je ne voulais parlé à personne.
Déjà il fallait avant tout que je comprenne ce qui était entrain de m'arriver. En attendant que mes parents rentre du travail, j'avais préparé le repas du soir.
Même si je n'avais pas vraiment faim.

Ma mère entra la première : Hum, ça sent bon. qu'est-ce que tu nous prépares de bon ?
Moi : Surprise.
Ma mère : Je suis sur que c'est un rôti.
Moi : Tu verras.
Ma mère : Alors comment étais ta journée ?
Moi (surprise) : Pourquoi tu me demande ça ?
Ma mère : Je te demande ça parce que tu n'as pas dormi de la nuit.
Je m'étais sentie soulagée.
Ma mère : Tu en fais une drôle de tête, ça va ?
Moi : Oui oui ça va, légèrement fatiguée.
Ma mère : Tu n'aurais pas du faire le repas, tu aurais du te reposer.
Moi : Non ça va je ne suis pas non plus sur le point de tombée dans les pommes (sourit)
Ma mère : Le repas sera prêt dans combien de temps ?
Moi : Il est déjà prêt, on a plus qu'à passer à table.
Ma mère : Je vais dresser la table.
Moi : Laisse je le fais.
Ma mère : Tu as déjà fait le repas, je peux aussi faire quelque chose.

Quand la table fût fini d'être dresser mon père venait juste de rentrer.
Le repas n'avait jamais été aussi calme.

Mon père : Vous êtes bien calme vous deux, qu'est-ce qui se passe ?
Ma mère : Rien.
Moi : Rien on déguste.
Mon père : C'est vrai que ce repas est bon.
Ma mère : C'est la p'tite qui l'a fait.
Mon père : Je m'en serais douté, tu aurais fini tôt sinon.
Moi : Arrêter de m'appeler la p'tite.
Mes parents s'étaient mis rire.
Mon père : Très bon ton repas en tout cas.
Moi : Merci.

Une fois fini, on avait débarrassé tous les trois. On s'était même "battu" pour savoir qui allait faire la vaisselle.
Mais cette fois-ci c'est mon père qui avait fait la vaisselle vu que nous deux nous avions déjà fait quelque chose.
En lavant le couteau a viande il s'était coupé dans le doigt.

Mon père : Oh ! Quel maladroit je fais.
Ma mère du salon : Qu'est-ce que tu as fait ?
Moi : Ca va papa ?
Mon père : Rien, je viens juste de me couper dans le doigt.
Ma mère : Quoi ? C'est profond ?
Je n'avais pas attendue ça réponse et était allée à sa rencontre.
Mon père : C'est rien ne t'inquiètes pas, je suis médecin je sais ce que je dis.
Moi : Fais voir.

A peine j'avais voulu prendre sa main que l'aura sortie des miennes.

Mon père s'écria : Qu'est-ce que c'est ça ?!
Ma mère : Mais qu'est-ce qui se passe à la fin ?
Mon père : La p'tite est bizarre
Moi : Papa je ... Je ...
Ma mère était venue à la cuisine : Comment ça elle est bizarre ?
Mon père : Quelle que chose est sortie de ses mains !
Ma mère : Quoi ?
Moi : Non ... Mais je ...
Ma mère : Explique toi ? Explique nous ?
Moi : J'en sais rien .. Je ...
Mon père : Explique ?!

J'avais courru dans ma chambre, claqué la porte et j'avais fermé à clé.

Ma mère : Ouvre moi. Qu'est-ce qui t'arrives ?
Moi : Je ne sais pas, je ne sais pas !
Ma mère : Ouvre on t'emmènes à l'hôpital
Moi : Pourquoi faire ?!
Ma mère : Mais enfin on ne peut pas te laisser comme ça. Surtout sans savoir.
Mon père : Laisse moi entrée, et laisse moi regarder.
Moi : Non. Dés que je touche quelqu'un cette aura apparaît !
Ma mère : Ce n'est pas la première fois ?
Moi : Non.
Ma mère : Pourquoi tu as rien dit ?

C'était à ce moment là que je leurs avais tout raconter. Pour rassurer mes parents nous étions allé voir plusieurs médecins.
Au bout d'un moment je n'en pouvais plus de jouer au cobaye. Plus ils me faisaient des examens et plus j'avais des symptômes.
Entre temps Karoline avait essayé de prendre de mes nouvelles, ma mère lui avait dit que j'étais malade. Mais Karoline ne l'avait pas cru. De ce fait, ma mère avait empèché quiconqe de m'approcher.
J'avais vécu les pires moments de ma vie. Entre scanner, radio, encéphalogramme, médicamen, injection, pommade, etc ...
J'avais beau dire à mes parents que je ne voulais plus de ces examens, ils ne voulaient rien entendre.
J'avais pris la décision de fuir mes parents, qui ne pensaient pas du tout à ma santé, mais juste à se rassurer de savoir qu'ils avaient une fille normal.
C'était ma seule chance de pouvoir m'en sortir.



Dernière édition par Magestik le Lun 30 Aoû - 23:06, édité 2 fois

4Nursy Girl  Empty Re: Nursy Girl Lun 30 Aoû - 22:54

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LA DECOUVERTE :

C'était bien beau de fuir, mais ou je devais allé maintenant. Je ne pouvais pas me permettre de travailler avec le handicap qui me hantait.
J'avais parcouru les rues, en epsèrant ne croiser personnes que je connaissais. Même si je savais que les rues n'étaient pas très sur je n'avais d'autres endroit ou aller.
Je m'étais enfermée dans les toilettes des trams, pour être quand même à l'abris des intempéris.

J'avais changé à chaque fois d'endroit.
Un soir, j'étais tombée nez à nez avec un groupe de vandale.
Un des truands : Hé hé. On est perdu ma jolie ?!
Moi : laissez moi tranquille.
Le truand : Oh ! Mais c'est qu'elle a du répondant la p'tite dame !
Moi : Laissez moi !
Quand j'avais voulu m'en fuir, je venais juste de m'appercevoir que j'étais encerclé. Prise au piège.
Ils riaient, et moi j'étais terrorisée.
Un héros vint à mon secours.

Elle n'avait fait qu'une bouchée de ces malfrats.
Héros : Ca va ?
Moi : Oui je crois ...
Héros : Vous êtes sur ? Vous êtes toute pâle
Moi : Oui je crois ... merci
Et là ce fut le trou noir. Je m'étais réveillée dans un hôpital. J'étais prise de stress et d'angoisse.

L'infirmière : Ah on est réveillée ?
Moi : Ou suis-je ?
L'infirmière : Dans un hôpital, c'est un Héro qui vous ramené.
Moi : Quelle hôpital ?
L'infirmière : Reposez vous.
Moi : Répondez moi, quelle hôpital ?

Elle avait fermé derrière elle sans rien me dire. Mais c'est quoi ce cauchemard, je m'étais dit.
Je m'étais levée de mon lit, j'avais arraché mes perfusion. Au même moment le Héro en question entra.

Héro : Qu'est-ce que vous faites ?

J'avais du sang qui coulait le long de mon bras, et là mes auras s'étaient mise à teintée. Mes blessures avaient disparu.
J'étais stupéfaite !

Héro : Vous êtes un défenseur ! Pourquoi ne vous êtes-vous pas défendue hier ?
Moi : Je suis quoi ?
Héro : Comment ça vous-êtes quoi ? Vous me prenez pour une bille ?
Moi : Quoi ? Mais non.
Héro : Vous êtes sérieuse ? Ou alors vous jouez bien la comédie.
Moi : Non je suis sérieuse. Vous avez dit que je suis quoi ?
Héro : Un défenseur.
Moi : C'est quoi ça ?
Héro : Ou là. Vous êtes amnésique c'est ça hein (elle riait)
Moi : Quoi ? Mais non.
Héro : Alors pourquoi vous ne vous souvenez de rien ?!
Moi : C'est que je ne sais pas ce qui m'arrive, c'est différent !
Héro : Comment ça vous ne savez pas ?
Moi : Bah oui, ça m'est tombée dessus sans que je m'y attende.
Héro : Ah ah ah ! Alors ça. Celle là on me l'a jamais faite (Elle riait encore)
Moi : Arrêtez de vous moquer de moi, je suis sérieuse !
Héro : Non. C'est pas possible qu'on ne sache pas qu'on a des pouvoirs.
Moi : J'en suis la preuve.

Elle m'avait regardé longuement.

Moi : Quoi ?
Héro : Suivez moi.
Moi : Et, ou allons-nous ?
Héro : Ne posez pas de question, et suivez moi.
Moi : je peux m'habiller avant ou ?
Héro : Oui, ce serait même mieux.

Je l'avais regardé.

Moi : Vous permettez ?
Héro : Oh, oui pardon.

Après quelque minutes.

Héro : Ca y est on peut y aller ?
Moi : Oui c'est bon.
Héro : Vous volez ?
Moi : Non ...
Héro : Bon, je vous emmène dans ce cas.
Moi : Hein ?

De là nous sommes parti vers Atlas Park.

Moi : Je ne peux pas venir ici.
Héro : Et pourquoi dont ?
Moi : Mes parents habitent pas loin.
Héro : Et ?
Moi : Ils ... ne savent rien de tout cela. (Je ne voulais pas salir mes parents)
Héro : C'est un problème ça ?
Moi : Oui quand même. Vous, vous avez eut peut-être plus de chance.
Héro : Je le savais depuis ma naissance.
Moi : Ah ... D'où le faite que vous soyez choqué je ne sache rien.
Héro : Vous avez tout compris.
Moi : Puis-je au moins savoir votre nom s'il vous plaît ?
Héro : Magik Stone.
Moi : Pierre magique ? Pourquoi ce nom ?
Magik Stone : Je vais vous montrer.

Là elle déferla ses pouvoirs de roche, ainsi que son sbire, le Golem.

Magik Stone : Vous comprenez pourquoi.
Moi : A cause du Golem ?
Magik Stone : En quelque sorte oui. Allons voir Antonio Nash.
Moi : C'est qui ?
Magik Stone : Il encadre les jeunes recrues Héros Mutant.
Moi : Mutant ?
Magik Stone : Oui, vous êtes une mutante.
Moi : Comment vous savez ça ?
Magik Stone : Vous posez beaucoup de question. Antonio vous dira mieux que moi. Je descend d'une lignée de magicien, et magicienne.
Moi : Ah d'accord d'où le faites que vous le savez depuis votre naissance que vous allez acquérir des pouvoirs.
Magik Stone : Oui, On y va ?
Moi : Oui, pardon.



Dernière édition par Magestik le Mar 31 Aoû - 12:55, édité 5 fois

5Nursy Girl  Empty Re: Nursy Girl Lun 30 Aoû - 22:56

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L'APPRENTISSAGE

Magik Stone : Salut Antonio.
Antonio Nash : Bonjour, Magik Stone. Que puis-je faire pour toi ?
Magik Stone : Ce n'est pas pour moi que je viens, c'est pour cette jeune recrue.
Antonio : Bonjour, vous êtes ?
Moi : Célinda.
Antonio : C'est votre nom de Héro ça ?
Célinda : Non c'est mon prénom.
Antonio : Je vois.
Magik Stone : Je me sauve, j'ai encore plein de chose à faire.
Antonio : A bientôt Magik Stone.
Célinda : Merci Magik.
Magik Stone : De rien, et bon courage.
Antonio : Sais-tu te servir au moins d'un de tes pouvoirs ?
Célinda : Non d'aucun. Mais Magik a dit que j'étais un déf.. quelque chose.
Antonio : Un défenseur. Comment sait-elle cela ?

J'avais tout raconté à Antonio. Il m'avait écouté sans me couper la parole. Vu que je m'étais senti en confiance, je lui avais aussi raconté les passages des hôpitaux.

Antonio : Tu sais Célinda, tes parents ont sûrement eut peur. Mais bon passons. Maintenant on a beaucoup de chose à faire. Je ne te cacherai pas qu'en général les recrues qui viennent chez moi sont plus jeunes.
Célinda : C'est un handicap ?
Antonio : Non je n'irais pas jusqu'à dire que c'est un handicap, c'est seulement que tu auras du mal a laisser s'exprimer tes pouvoirs à travers ton corps.
Célinda : Pourquoi dont ?
Antonio : Parce que tu auras du mal a croire en toi, et donc si tu ne crois pas en toi, jamais tes pouvoirs ne se libéreront. Tu comprends ?
Célinda : C'est perdu d'avance alors.
Antonio : Non il ne faut pas dire ça, tu devras travailler deux fois plus qu'un autre c'est tout, même si tes pouvoirs font parti de tes gènes.
Célinda : On s'y met quand ?
Antonio : C'est la réponse que j'attendais. De suite.

Antonio ne m'avait pas menti. Le travail du corps et de l'esprit ça avait été le plus pénible. J'avais travaillé 2 mois, pour pouvoir apprendre a écouter et connaitre mon corps.
Je voyais les autres qui avaient des missions, d'autres qui partaient car Antonio ne pouvaient plus rien leur apprendre de plus.
C'était à la fois frustrant, et en même temps ça m'encourager d'autant plus pour qu'un jour moi aussi je "vol" de mes propres ailes.

Antonio : Maintenant que tu connais parfaitement ton corps. Essais de me faire briller ces auras.

Je m'étais tellement préparée à ce moment que j'étais très existé de pouvoir utiliser mes pouvoirs. Mais rien ne venait. Je me concentrais autant que je pouvais, toujours rien. Antonio me regardais et attendais, puis il s'était reculé.
Je n'avais pas compris pourquoi. Mais quand il avait eut un déferlement de pouvoir sortir de mes mains, je savais pourquoi.

Antonio : Pas mal. Tu me la refais ?
Célinda : Encore ?
Antonio : Oui encore, mais essais cette fois-ci de te concentrer sur ce mannequin.
Célinda : OK.

Je m'étais reconcentrée, je sentais comme ça vibré en moi. Mais j'avais tellement utiliser d'énergie avant que rien ne venait.

Antonio : Alors ?
Célinda : Je suis épuisée. Je n'en peux plus.
Antonio : Tu diras ça aussi face aux malfrats, quand il faudra que tu sauves des vies ?
Célinda : Mais ...
Antonio : Je ne veux pas entendre de mais. Ca fait 2 mois que l'on boss comme des acharnés. Et tu me dis que tu n'en peux plus ?

Je commencais à m'enerver, je sentait comme une rage monter en moi, et là j'avais explosé le mannequin.

Célinda : Ca te va ?!
Antonio : Parfais, si j'avais su je t'aurais énervé plus souvent. Aller monte te changer, et viens boire un café.

J'étais restée là, ne sachant quoi dire. Mais j'étais fière de moi. Après avoir enfin su maîtriser mes pouvoirs j'ai pû faire des missions.
D'abord des missions qui était fatiguante, de protection, et j'en passe ...

Antonio : Célinda ?
Célinda : Oui ?
Antonio : il serait temps que tu te choisisse un vrai nom de Héro non ?
Célinda : Je n'y jamais pensé. Tu aurais une idée.
Antonio : Ah ne me regarde pas comme ça, c'est a toi de choisir ton nom pas moi.
Célinda : T'en as de bonne toi.
Antonio : Débrouille toi.
Célinda : Comme à chaque fois ...

Cette idée de nom de Héro m'avait travaillé, je n'avais pas dormis à cause de ça.
Après avoir passer une nuit entière à trouver, je l'avais enfin.

Antonio : Déjà debout ?
Célinda : J'ai pas dormi ...
Antonio : Comment ça ce fait ?
Célnda : Tu me demandes ?
Antonio : Oui, je te le demande. Non ? (il se mit à rire) Tu as cherché un nom toute la nuit ?!
Célinda : Bah oui faute à qui ?
Antonio : Et tu l'as trouvé, ou tu as perdu une nuit de sommeil pour rien (m'avait-il dit avec un sourire en coin)
Célinda : Oui je l'ai trouvé.
Antonio : Et ?
Célinda : Avant de te le dire je veux savoir pourquoi il faut qu'on choisisse un nom ?
Antonio (riait à gorge déployé) : Tu vas me faire mourir de rire.
Célinda : Je ne vois pas ce qu'il y a de drôle ?
Antonio : Mais enfin réfléchi Célinda
Célinda : Hum ?
Antonio : C'est pour garder ta véritable identité secrète (et il se remit à rire, à un point que même les larmes lui étaient monté)
Célinda : Rhoooo ça va hein, j'ai fait une nuit blanches, j'ai pas les idées clair.
Antonio : Bon (Pfou) et ce nom ?
Célinda : Nursy Girl
Antonio : C'est jolie. Bon je vais t'inscrire à la Mairie. Au passage tiens une nouvelle mission, et là dernière.
Nursy Girl : Chouette. Hein ??! Comment ça ?
Antonio : Je n'ai plus rien à t'apprendre Cél ... euh Nursy. Tu vas devoir aller voir d'autres personnes qui auront besoin de tes compétences.
Nursy Girl : Déjà ? Mais ...
Antonio : Tu pourras toujours passer faire un coucou.
Nursy Girl : Oui... C'est sur. A bientôt Antonio.
Antonio : A bientôt. Aller file.


J'avais quitté Atlas pour King's Row. De là j'étais partie sur Les Crevasses, et j'avais fait bien d'autres missions.
Durant toute ces missions, j'étais de temps en temps aller voir sans qu'ils ne m'avaient reconnu, mes parents. Je n'avais, et je n'ai le droit de révéler à qui que ce soit mon identité.





Dernière édition par Magestik le Mar 31 Aoû - 13:07, édité 5 fois

6Nursy Girl  Empty Re: Nursy Girl Lun 30 Aoû - 22:57

Magestik

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LES RENCONTRES : (A ce jour)


Pendant quelque bataille contre le crime et le désorde, j'ai fait la connaissance de Zoa, qui fait partie d'un super groupe. En tant que Citoyenne, je ne savais pas que cela existé.
J'ai donc demandé à en faire partie.

J'ai aussi fais la connaissance de Aktaron, Jish, Enki, scrarabe rouge, Phenix, Phenix ll, bob, Blossom, Guillermus, Black Celt, Iron Jack, The Dark Phenix, Alice Veil, Aile de Feu, mdr et bien d'autres.
Qui font parti des Titans. Grace à eux je me sens moins seule, et ce qui est sur c'est qu'à plus grand nombre, nous érradiqueront plus vite le mal qui ronge Paragon City.

Nous pourront mieux repousser l'ennemis !


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